Actualites | Forum |Archives
Le magazine des décideurs et webmasters qui gagnent !
Inscription | Livre d'or | Plan du site | 15 visiteurs actifs
   
A la Une
Actualité
Dossiers
Communiqués
Coin Technique
Agenda des salons
Emploi
Echange de liens

Archives
Sélection
Expérience qui parle
Internet quotidien
Tous les dossiers

Forum
Forum SAM-MAG

Guides
Check-list de la promotion des sites
Promouvoir et référencer les sites web

Contact
Nous contacter
Newsletter
La protection des données personnelles


 
 Plus de net, plus de Bourse ! ...
Dossier "SAM Le Directeur" du 10 au 23 juillet 2000 par Nathalie Pelras

'enquête de la SOFRES qui vient d'être publiée, a mis en évidence le regain d'intérêt des français pour la bourse. En effet, c'est la première fois depuis 1996, que le seuil des 5,2 millions d'actionnaires individuels de sociétés cotées est dépassé à 5,6 millions. Malgré cet engouement récent, la France reste globalement à la traîne par rapport à des pays comme les Etats-Unis ou l'Allemagne. Le phénomène devrait progressivement s'accentuer dans un pays où la culture boursière a encore des progrès à faire…

Le krach boursier de 1987 et la crise économique du début des années 90 avaient significativement altéré l'envie des épargnants de placer leur pécule en bourse. Si le niveau actuel des actionnaires individuels n'a toujours pas atteint le pic de 1987 (6,2 millions), l'engouement récent pour le marché boursier s'explique à la fois par l'euphorie du début de l'année pour les nouvelles technologies, mais aussi par l'expansion de l'internet auprès des particuliers, surtout des moins de 35 ans.

En mai 2000, 9 millions de français (soit 20,5% des plus de 15 ans) étaient porteurs de valeurs mobilières (actions, obligations, SICAV…) avec une nette préférence pour les actions. Tant les rendements que le développement de véhicules défiscalisés tels que le PEA ou les contrats d'assurance-vie, sont à l'origine de l'attrait pour les titres cotés. L'internet n'est pas étranger à ce regain d'intérêt des français pour la bourse. En effet, 630.000 français affirment recourir au net pour consulter les cours, obtenir des informations sur les valeurs cotées. Cependant, seuls 36% des investisseurs particuliers passent effectivement leurs ordres via ce réseau : le potentiel de croissance est donc conséquent.

Au niveau européen, l'apparition des nombreux " brokers on line " s'est doublée d'une intense guerre des prix entre ces derniers. L'aubaine était belle pour les particuliers qui ont vu les tarifs être deux fois inférieurs à ceux pratiqués dans leurs banques traditionnelles. Cependant de nombreux disfonctionnements ont été observé chez plusieurs brokers, amenant certains client à se tourner vers les tribunaux. Ainsi, il n'est pas rare qu'à la suite des campagnes publicitaires, les courtiers en ligne soient débordés et que les systèmes informatiques ne puissent suivre. Le particulier n'est pas non plus à l'abri d'erreurs de la part des opérateurs chargés de transmettre des ordres sur le marché.

Il est donc nécessaire d'être extrêmement attentif dans la sélection de son " broker on line ". Quelques règles sont alors à respecter scrupuleusement comme se méfier des effets d'annonces publicitaires sur les tarifs. Des frais de courtages très faibles peuvent avoir en contrepartie des droits de garde élevés ou des frais divers multiples. En outre, les grilles tarifaires sont parfois complexes et peu transparentes.

Il s'agit aussi de savoir quelle est la solidité et la structure financière du transmetteur d'ordres , ou du broker, chez qui le compte est ouvert. Des structures présentent en effet l'avantage d'être " click & mortar ", comme certaines entreprises plus classiques. Parlons donc d'une structure que nous connaissons bien (et pour cause) à savoir Richelieu Finance. Cette Société de Gestion créée en 1985, décide en 1999 de développer une structure internet afin de poursuivre de poursuivre son rôle de transmetteur d'ordres qu'il pratiquait déjà depuis de nombreuses années. En outre, la connaissance des marchés par les professionnels de la structure de gestion ainsi que la qualité du dépositaire sont autant de garanties supplémentaires quant au bon déroulement des opérations.

Outre le problème du choix de son " broker on line ", il s'agit désormais d'anticiper le comportement des investisseurs particuliers après la forte chute des valeurs technologiques et de l'internet. Il y a quelques mois encore quiconque investissait dans des titres " dot.com " était assuré de dégager une plus-value. Aujourd'hui, les cours ont retrouvé des niveaux plus adaptés à la valeur réelle des entreprises provoquant de lourdes pertes pour les investisseurs dont les stratégies étaient les plus risquées. La prudence conduisant les investisseurs à adopter des stratégies plus sélectives vis à vis des valeurs de la Nouvelle Economie, a certes provoqué un ralentissement des transactions en juin à la bourse de Paris, mais le volume d'affaires est resté élevé. Malgré les nouvelles introductions sur le marché parisien, le retour vers des titres plus classiques n'est pas à exclure.

Nathalie PELRAS / Richelieu Finance
Gérante du FCP TECH NET
www.richelieufinance.fr
Tel : 01 42 89 00 00

Tous droits réservés - Reproduction même partielle interdite sans autorisation préalable

 
 
Google
 
Web www.sam-mag.com
 

Copyright © ACORUS 2004. All Rights Reserved

- Sam-Mag.com Referencement-Sur-mesure - Referencer-Site-Web.com
Visibilite-Internationale.com - Referencement-Immobilier.net